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Utilisation de l'un des blochet sculptés du transept et retournement d'une tête "le cheval"
Jehan et Mathilde étaient en peine Ce chat curieux, ramené à grands frais d’Afrique, par caravelle car nous étions en 1432, demeurait introuvable…
Un clapotis suspect attira leur attention et les fit se diriger vers le puit. Catastrophe !
Ils aperçurent au fond des petits brillants dans l’obscurité : les yeux de l’animal.
Le puit était désespérément profond d’où la difficulté pour sauver l’animal.
On pensa, en premier, à utiliser le cheval pour tirer le filin que l’on aurait trempé jusqu’à la surface de l’eau. Mais le cheval se cabra et disparut au loin … Pas d’échelle non plus pour tenter de descendre au fond !...
Subitement, le vent se mit à souffler, car Mathilde s’était mise à genoux devant le puit en priant. Le vent se déchaina avec une telle force qu’une puissante bourrasque pénétra dans le puit,
soulevant la masse d’eau en tourbillonnant sur elle-même, emmenant l’animal jusqu’à la sortie du puit. Jehan et Mathilde, satisfaits du miracle, attrapèrent leur animal prestement.
Celui-ci se mit à ronronner fortement – presque à rugir - car cet animal, que l’on avait pris pour un chat, n’était autre … qu’un LIONCEAU* !
(lion sot … d’être tombé dans l’eau !)
Elisabeth et Olivier (Port Mort)
Illustration réalisée par Olivier